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Avocats
Communiqué de presse
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 20 FÉVRIER 2025
Actions Avocats écrit en réponse à Unicef France :
« L’Unicef n’est plus »
Le 19 février 2025, Unicef France nous a fait part de « toute leur affection à notre égard et à l’égard de notre communauté » suite à « la funeste nouvelle » relative à la famille Bibas.
C’en était trop pour nous.
« Alors que nous apprenons que Kfir et Ariel Bibas ont été assassinés pendant leur captivité avec leur mère,
Que leurs corps ont été conservés pendant 16 mois dans le seul but d’être une monnaie d’échange contre des terroristes,
Alors que l’Unicef n’a eu de cesse de relayer la propagande du Hamas, seul responsable de la situa+on à Gaza,
Alors que l’Unicef n’aura jamais affiché le visage de ces deux enfants, plus jeune otages du monde, avec pour excuse de ne pas afficher le visage des enfants alors même qu’elle l’a fait pour tous les gazaouis et enfants d’autres pays,
Alors que de nombreux enfants sont orphelins en Israël depuis le 7/10,
Alors que tous les enfants d’Israël sont traumatisés par cette guerre qu’ils subissent depuis 16 mois, que certains ont été contraints de quiRer leurs maisons brulées,
Alors que tous les enfants juifs de France subissent un antisémitisme fulgurant depuis le 7/10, » (extrait de notre leHre en réponse du 20 février 2025)
Nous considérons que ces mots sont dénués de sincérité. L’UNICEF, comme toutes les organisations onusiennes, ont pris le parti indéniable de la terreur en soutenant la propagande du Hamas.
Durant ces 15 mois, l’UNICEF n’aura eu de cesse de diaboliser le peuple d’Israël en atisant la haine sous couvert de droit humanitaire avec les conséquences que nous connaissons sur la communauté juive française.
Nous avons voulu croire à leur sincérité et à leur volonté de recherche d’un équilibre.
Force est de constater que si les réseaux de l’Unicef ont servi la cause des enfants palestiniens, congolais, haïtiens et autres, aucun post n’a été fait sur la situation des enfants israéliens et encore moins des deux plus jeunes otages du monde : Kfir et Ariel Bibas.
« Nous en sommes arrivés à la conclusion suivante: chaque enfant compte à condition qu’il ne soit ni israélien ni juif. »
Nous aurions pu rester silencieuses, comme eux et beaucoup d’autres, mais la lâcheté et la compromission avec les ennemis de la liberté nous conduisent à dire que l’Unicef n’est plus, depuis longtemps.
Déborah Journo
Présidente de Actions Avocats
actionsavocats@gmail.com